Petrella: "Le dialogue social est une mascarade si on ne le fait pas d'égal à l'égal"

2011/03/18
L'économiste italien Riccardo Petrella, invité pour la fondation Manu Robles-Arangiz dans le premier acte du centenaire du syndicat ELA, a prononcé le 17 de mars à Bilbao la conférence “Vers un autre modèle económique”, où il a exprimé son particulier “théologie universelle capitaliste". Comme conclusion, et dans ce qui concerne au papier des syndicats, a souligné que “le dialogue social ne peut jamais fonctionner s'il ne se donne pas entre les égaux; le papier des syndicats est créer les conditions nécessaires pour négocier, non dialoguer, d'égal à l'égal; l'un autre est une mascarade, un carnaval de Venecie".

 

Dans ce ligne, a défendu que le syndicalisme doit "répondre et faire le combat au capital comme le propriétaire de la vie", et à la fois fortifier le pouvoir public.

Dans la théologie universelle capitaliste de Petrella il y a une église (la bourse ) et aussi une trinité que l'imprègne et domine tout: "le capital est le père, l'entreprise est le fils, et le marché est l'esprit saint". Pour compléter cet analogie, "il nous manque de la salut, que vient donné pour le compétitivité: si tu fournis bienfaits au capital, il te sauve; si non, le travailleur non a même pas droit à la vie". Petrella est convaincu de que "l'échange est possible, et il se peut pousser même si on part de positions faibles ou par états peu puissantes", et il a mis quelque fois l'exemple de Evo Morales.