Petrella: "Le dialogue social est une mascarade si on ne le fait pas d'égal à l'égal"
Dans ce ligne, a défendu que le syndicalisme doit "répondre et faire le combat au capital comme le propriétaire de la vie", et à la fois fortifier le pouvoir public.
Dans la théologie universelle capitaliste de Petrella il y a une église (la bourse ) et aussi une trinité que l'imprègne et domine tout: "le capital est le père, l'entreprise est le fils, et le marché est l'esprit saint". Pour compléter cet analogie, "il nous manque de la salut, que vient donné pour le compétitivité: si tu fournis bienfaits au capital, il te sauve; si non, le travailleur non a même pas droit à la vie". Petrella est convaincu de que "l'échange est possible, et il se peut pousser même si on part de positions faibles ou par états peu puissantes", et il a mis quelque fois l'exemple de Evo Morales.